Loin d’être révolutionnaire dans son genre, Godzilla émaillé de quelques scènes fabuleuses s’avère plutôt un renouvellement nostalgique du Kaiju Ega. Le récit insignifiant des humains à la psychologie stéréotypée neutralise le rayonnement débridé des monstres lo
La première scène est tout sauf anodine qui résume en quelque sorte la trame qui s'ensuit : un quotidien paisible/un heureux événement bouleversé soudainement par un drame survenu de nulle part. Développé à partir d'un fait divers, ce portrait touchant de gens ordinaires dépassés par les évènements frôle un réalisme inouï. Le salut d'une âme tourmentée par un "voyage" d'introspection retombe un peu dans l'ornière malgré la puissance de l'imagerie